Maintenir un environnement thermique confortable à l’intérieur des bâtiments est important pour la santé, le confort et la performance des occupants.
Une ventilation insuffisante (apport d’air frais déficient) peut causer une augmentation des niveaux de dioxyde de carbone responsable de la sensation de fatigue et des plaintes de manque d’air chez les occupants. Cependant, trop de ventilation, par exemple une vitesse d’air plus élevée que 0,2 m/s, peut causer des plaintes de sensation de froid chez certaines personnes en raison des courants d’air.
Une humidité basse peut causer la sécheresse des yeux, du nez et de la gorge. Une humidité élevée cause la sensation de fatigue plus rapidement et favorise également la croissance de moisissures et de bactéries.
Le maintien de conditions confortables dans les bâtiments à ventilation mécanique dépend des variables suivantes : la température de l’air, la vitesse d’écoulement de l’air, l’humidité relative, la température de rayonnement, le degré d’isolement des vêtements et le niveau d’activité des occupants. La norme 55 de l’ASHRAE définit une « zone de confort » basée sur ces six variables comme étant celle ou une majorité des occupants se sent à l’aise.
Des concentrations élevées de dioxyde de carbone dans les espaces occupés peuvent être un indice indirect d’une mauvaise ventilation. Les espaces intérieurs doivent être suffisamment ventilés avec de l’air extérieur pour diluer les contaminants et fournir de l’oxygène aux occupants. La norme 62 de l’ASHRAE recommande un taux d’apport d’air extérieur afin de maintenir une bonne qualité de l’air intérieur.
Dans le cadre de notre évaluation de la qualité de l’air intérieur, nous réalisons des mesures de paramètres de confort thermique incluant l’humidité relative, la température, la vitesse de l’air ainsi que le taux de ventilation et les concentrations de CO2.
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